Guide de Bruno

Bruno
Guide de Bruno

Lieux touristiques

14 locals raden deze aan
E-1027
E-1027 Sent. Massolin
14 locals raden deze aan
La villa Kérylos, à Beaulieu-sur-Mer, est construite par l'architecte Emmanuel Pontremoli entre 1902 et 1908 sur un promontoire rocheux surplombant la Méditerranée, sur la route du bord de mer. Cette habitation construite et meublée sur le modèle des villas de la Grèce antique du iie et du ier siècle av. J.-C. pour l'archéologue et spécialiste de l'époque hellénistique, Théodore Reinach (1860-1928), est léguée à l'Institut de France en 1928. La riche décoration intérieure (esprit des fresques et silhouette du mobilier) et l’austérité des façades sur mer forment un exemple d’une architecture « pittoresco-académique » à tendance néo-antique et Art nouveau[1]. Des matériaux précieux ont été utilisés : marbre de Carrare, albâtre, bois exotiques et citronnier. Les meubles en bois sont incrustés d'ivoire, de bronze et de cuir.
105 locals raden deze aan
Griekse Villa Kerylos
Rue Gustave Eiffel
105 locals raden deze aan
La villa Kérylos, à Beaulieu-sur-Mer, est construite par l'architecte Emmanuel Pontremoli entre 1902 et 1908 sur un promontoire rocheux surplombant la Méditerranée, sur la route du bord de mer. Cette habitation construite et meublée sur le modèle des villas de la Grèce antique du iie et du ier siècle av. J.-C. pour l'archéologue et spécialiste de l'époque hellénistique, Théodore Reinach (1860-1928), est léguée à l'Institut de France en 1928. La riche décoration intérieure (esprit des fresques et silhouette du mobilier) et l’austérité des façades sur mer forment un exemple d’une architecture « pittoresco-académique » à tendance néo-antique et Art nouveau[1]. Des matériaux précieux ont été utilisés : marbre de Carrare, albâtre, bois exotiques et citronnier. Les meubles en bois sont incrustés d'ivoire, de bronze et de cuir.
La villa a été construite entre 1931 et 1935 dans le style régional méditerranéen. Elle compte quatre chambres et le mobilier a été acheté à Madeleine Castaing[2]. Francine Weisweiller fit la connaissance du poète Jean Cocteau lors du tournage du film tiré de son roman Les Enfants terribles par le jeune cinéaste Jean-Pierre Melville. L'actrice principale, Nicole Stéphane, est la cousine d’Alec Weisweiller et présenta Jean Cocteau à Francine Weisweiller. Elle invita en 1950 Jean Cocteau et son fils adoptif, Édouard Dermit, à passer quelques jours dans sa villa[3]. Pour s'occuper, Cocteau demanda à son hôtesse s'il pouvait dessiner une tête d'Apollon au-dessus d'une cheminée du salon. Il va y entreprendre sa première grande décoration murale et tatouer les murs, travail qu'il commente dans son court métrage La Villa Santo Sospir (1952)[2]. La villa est présente dans le film de Cocteau : Le Testament d'Orphée (1960) et dans le documentaire d'Edgardo Cozarinsky : Jean Cocteau, autoportrait d'un inconnu (1983) Jusqu'à la fin de sa vie, en 1963, Cocteau a fait de très longs séjours à la villa[2]. Carole Weisweiller, la fille de Francine, ouvre la villa à la visite, mais rattrapée par des problèmes fiscaux, doit la vendre. Un Russe l'achète, avec comme condition de poursuivre les visites au public, de faire des travaux de rénovation et de pouvoir y séjourner. Elle a également créé une association pour défendre la villa[2].
6 locals raden deze aan
Villa Santo Sospir
14 Av. Jean Cocteau
6 locals raden deze aan
La villa a été construite entre 1931 et 1935 dans le style régional méditerranéen. Elle compte quatre chambres et le mobilier a été acheté à Madeleine Castaing[2]. Francine Weisweiller fit la connaissance du poète Jean Cocteau lors du tournage du film tiré de son roman Les Enfants terribles par le jeune cinéaste Jean-Pierre Melville. L'actrice principale, Nicole Stéphane, est la cousine d’Alec Weisweiller et présenta Jean Cocteau à Francine Weisweiller. Elle invita en 1950 Jean Cocteau et son fils adoptif, Édouard Dermit, à passer quelques jours dans sa villa[3]. Pour s'occuper, Cocteau demanda à son hôtesse s'il pouvait dessiner une tête d'Apollon au-dessus d'une cheminée du salon. Il va y entreprendre sa première grande décoration murale et tatouer les murs, travail qu'il commente dans son court métrage La Villa Santo Sospir (1952)[2]. La villa est présente dans le film de Cocteau : Le Testament d'Orphée (1960) et dans le documentaire d'Edgardo Cozarinsky : Jean Cocteau, autoportrait d'un inconnu (1983) Jusqu'à la fin de sa vie, en 1963, Cocteau a fait de très longs séjours à la villa[2]. Carole Weisweiller, la fille de Francine, ouvre la villa à la visite, mais rattrapée par des problèmes fiscaux, doit la vendre. Un Russe l'achète, avec comme condition de poursuivre les visites au public, de faire des travaux de rénovation et de pouvoir y séjourner. Elle a également créé une association pour défendre la villa[2].
511 locals raden deze aan
Monaco
511 locals raden deze aan
276 locals raden deze aan
Menton
276 locals raden deze aan
70 locals raden deze aan
Roquebrune-Cap-Martin
70 locals raden deze aan
511 locals raden deze aan
Nice
511 locals raden deze aan
385 locals raden deze aan
Villefranche-sur-Mer
385 locals raden deze aan